- Les principaux sujets traités lors des conférences étaient les suivants :
- Le plan de développement dans le domaine de l'enseignement supérieur (privé) ;
- Le rôle des EPES dans le développement durable : le cas du programme ALICT ;
- Une évaluation des profils de risque des EPES en Ethiopie ;
- Accès, abordabilité et éducation de qualité pour le développement durable : opportunités et défis ;
- Enseignement supérieur, développement professionnel de l'enseignant, qualité et durabilité ;
- Engagement global des universités à s'attaquer aux défis du développement durable ;
- Leadership responsable pour l'apprentissage dans un programme international du niveau Master ;
- L'importance d'utiliser des données ayant un fort impact, afin de rendre les universités plus compétitives ;
- Compétences d'employabilité, entreprenariat et développement durable ;
- Égalité des sexes, équité et services communautaires.
Programme ALICT/LATIC du GESCI présenté à la Conférence sur les Établissements Privés d’Enseignement en Afrique
GESCI a assisté à la 14e Conférence internationale sur l'enseignement supérieur privé en Afrique, organisée à Addis-Abeba en Éthiopie les 12 et 13 juillet 2017. L'édition de cette année avait pour thème Le rôle des établissements privés d'enseignement supérieur dans le développement durable.
Les débats ont porté sur le rôle des établissements privés d'enseignement supérieur (EPES) dans la promotion de la Société du Savoir (SS) et leur contribution au développement durable. Dans ce cadre, GESCI a présenté le programme Leadership africain dans les TIC et Développement de la Société du Savoir (ALICT) qui cherche à créer une masse critique de leaders en Afrique ayant une bonne compréhension de la promotion de la SS, ainsi que les compétences nécessaires, et qui met un accent particulier sur les nouvelles approches du leadership et les nouvelles compétences pour un développement cohérent de la politique.
La conférence était organisée par l’Université St. Mary en partenariat avec l’Association des Universités africaines (AUA), la Commission de l’Union Africaine (CUA), l'Autorité intergouvernemental pour le développement (IGAD), l'Institut international de l'UNESCO pour le renforcement des capacités en Afrique (IICBA) et le Ministère fédéral de l'éducation en Éthiopie.
Y participaient des ONG internationales, des éducateurs, des chercheurs, des établissements d'enseignement supérieur–privés et publics–des décideurs et des représentants des organisations régionales et internationales venus d'Afrique, d'Asie, d'Europe et d'Amérique.